16 novembre 2018
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Edgardo Dobry, « Los poetas no saben (casi) nada del río », Cuadernos LIRICO, ID : 10.4000/lirico.5635
La traduction poétique construit des résonances complexes sur l’identification entre le fleuve et le temps. Le fleuve traverse la ville. Celle-ci est divisée en deux parties par le fleuve. La ville est même divisée de son glorieux et archaïque archétype. Dans la ville américaine, en revanche, le fleuve est une marge ou une limite. Certains écrivains et poètes américains –T.S. Eliot, Juan L. Ortiz, Juan José Saer– proclament le « non-savoir » comme possibilité ou nécessité de façonner le fleuve dans le poème.