Racial Violence at the Crossroads of West and South in Rosewood (John Singleton, 1997)

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11 juillet 2018

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Claire Dutriaux, « Racial Violence at the Crossroads of West and South in Rosewood (John Singleton, 1997) », Revue LISA / LISA e-journal, ID : 10.4000/lisa.9444


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Résumé En Fr

Almost twenty years before Quentin Tarantino’s Django Unchained, African American film director John Singleton’s Rosewood (1997) told the violent racial history of the South during the Jim Crow era and the real suffering they experienced at the hands of Whites, via a combination of a western-style narrative with a black cowboy hero and a historical drama. This article explores the interplay between South and West and examines how Rosewood borrows from the Western genre to explore and rewrite racial history in the American South. The director makes use of generic hybridity to show the persistence of a “racial Frontier” on screen. The filmmaker modified the known accounts of the 1923 Rosewood massacre to include a Western-style resolution to historical conflicts.

Presque vingt ans avant la sortie en salles de Django Unchained de Quentin Tarantino, le réalisateur afro-américain John Singleton explora dans Rosewood (1997) la violente histoire raciale du Sud pendant l’ère Jim Crow, lors d’un épisode brutal qui mit face à face Noirs et Blancs. Dans ce film dont le héros est un cowboy noir, Singleton utilise une combinaison de codes westerniens et de conventions du genre du drame historique. Cet article explore les liens entre le Sud et l’Ouest à l’écran, ainsi que la manière dont le film emprunte au genre du western pour réécrire l’histoire raciale dans le Sud américain. Le réalisateur utilise ce phénomène d’hybridation générique pour montrer la persistance d’une Frontière raciale à l’écran. Le réalisateur modifia les témoignages originels sur le massacre de Rosewood de 1923 pour offrir une résolution « westernienne » aux conflits historiques.

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