La dette de l’œuvre de Vénus Khoury-Ghata aux ténèbres

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15 février 2021

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Michèle Finck, « La dette de l’œuvre de Vénus Khoury-Ghata aux ténèbres », Littératures, ID : 10.4000/litteratures.2221


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Pas de grande œuvre sans dette aux ténèbres. La dette de l’œuvre de Vénus Khoury-Ghata aux ténèbres est considérable. Elle s’enracine dans l’enfance libanaise de la poète. Les figures du père et surtout de la mère et du frère sont à l’origine de cette épreuve. L’étude se consacre à la fois aux livres de poèmes et aux romans d’origine autobiographiques. L’expérience des ténèbres dans l’œuvre s’organise autour de deux pôles indissociables l’un de l’autre : le silence et le cri dont la logique pendulaire est une matrice de l’œuvre. Cette oscillation désigne aussi la force de nécessité de la vocation poétique : l’écriture s’impose à Vénus Khoury-Ghata comme la seule issue aux ténèbres de l’enfance libanaise.

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