Michel Lambert et son recueil de 1689 : un musicien mondain à l’ère de l’opéra

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24 février 2014

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Yann Mahé, « Michel Lambert et son recueil de 1689 : un musicien mondain à l’ère de l’opéra », Littératures, ID : 10.4000/litteratures.251


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Au moment où l’opéra triomphe et où l’air de cour mondain décline, Michel Lambert fait imprimer en 1689 un recueil d’airs d’une telle importance qu’il rappelle les éditions des opéras de Lully. Pourtant, Michel Lambert est le témoin d’une mondanité où la musique et le texte tissent des liens étroits sans être contraints à une efficacité requise par la représentation théâtrale. Les textes des airs de cour sont donc en général non dramatiques et la musique joue encore sur une conception de la tonalité très souple influencée par la solmisation. La présente étude vise à comprendre comment Michel Lambert tente de plaire à un public épris d’opéra sans trahir sa réputation de grand maître du chant héritée de la mondanité.

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