Parler du travail dans la « grammaire de l’art »

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29 novembre 2023

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Mettre en relation Rêver sous le capitalisme de Sophie Bruneau et Personne ne sort les fusils de Sandra Lucbert, c’est souligner l’attention que ce film documentaire et cette œuvre littéraire portent aux « manières de dire » la souffrance au travail. Dans le cadre de la « grammaire de l’art » qu’elles établissent, Bruneau et Lucbert expriment les violences générées par l’emploi salarié : l’une fait entendre les paroles de ceux et celles qui les subissent ou l’autre met au jour les rouages des discours gestionnaires.

Putting in contact Sophie Bruneau’s Rêver sous le capitalisme and Sandra Lucbert’s Personne ne sort les fusils, leads to underline the attention that this documentary film and this literary work pay to the “ways of saying” suffering at work. By the means of the “grammar of art” that they establish, Bruneau and Lucbert express the violence generated by salaried employment : one lets us hear the words of those who suffer from it, while the other brings to light the process of managerial discourse.

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