Alliés ou ennemis ? Le GUPVI-NKVD, le Komintern et les « Malgré-nous ». Le destin des prisonniers de guerre français en URSS (1942-1955).

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19 décembre 2016

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Gaël MOULLEC, « Alliés ou ennemis ? Le GUPVI-NKVD, le Komintern et les « Malgré-nous ». Le destin des prisonniers de guerre français en URSS (1942-1955). », Cahiers du monde russe, ID : 10.4000/monderusse.8473


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Il est encore très difficile d’établir un bilan chiffré du sort des 130000Alsaciens-Lorrains incorporés de force dans l’armée allemande durant le second conflit mondial et dont plus de 21000 reviendront des camps de prisonniers en URSS. Aujourd’hui -- aux travers de documents conservés dans divers centres d’archives russes -- il devient clair que leur destin à été modelé à la fois par les autorités soviétiques, mais aussi par les responsables du mouvement communiste international présents à Moscou. Comparativement moins maltraités, les « malgré-nous » rentreront chez eux plus tôt que les autres prisonniers de guerre étrangers internés en URSS. Toutefois, ces même archives russes gardent la trace de la présence de 28 prisonniers de guerre français en URSS en 1955.

Friends or foes ? The GUPVI-NKVD, the Comintern and the fate of the former French prisoners of war in the Soviet Union (1942-1955).It is as yet very difficult to assess the fate of the 130,000 natives of Alsace-Lorraine who were forcibly drafted in the German army during World War II, and out of whom more than 21,000 came back from Soviet prison camps. A study of documents preserved in various Russian archives makes clear that their fate was shaped both by Soviet authorities and by leaders of the international communist movement who were then in Moscow. They were comparatively better treated and came back home earlier than the other foreign prisoners of war held captive in the USSR. However, the Russian archives under study mention the presence of 28 French prisoners of war on Soviet soil in 1955.

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