Fouiller est-ce aussi archiver ?

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22 février 2024

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Le Clech Sylvie et al., « Fouiller est-ce aussi archiver ? », Les nouvelles de l'archéologie, ID : 10.4000/nda.14010


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Suite à une mission commune sur la conservation et l’accessibilité de la documentation archéologique (archives de fouilles), les deux autrices, une archiviste et une archéologue, inspectrices des patrimoines, souhaitent ici interroger la relation de l’archéologue aux archives. Ce questionnement s’articule autour de trois axes : l’archéologue produit des archives lors de ses opérations archéologiques, il étudie des archives historiques dans le cadre de ses recherches et il peut être amené à les conserver, par exemple dans des centres de conservation et d’étude. Malgré ces évidentes interactions, les liens entre les services archéologiques et ceux chargés de la gestion des archives (archives départementales notamment) sont très peu développés et des incompréhensions naissent parfois du fait d’un vocabulaire non partagé. Or, des collaborations intéressantes existent entre archéologues et archivistes et mériteraient d’être plus largement déployées et connues comme autant d’actes de la pratique créateurs de valeur pour les réseaux professionnels et leurs publics.

After performing a common mission about preserving and giving access to records and archives produced during archeological excavations, two curators, national inspectors in cultural heritage, an archeologist and a archivist wanted to examine archeologist’s relationships to records and archives. The question is based on 3 axis: an archeologist create records when he manages archeological operations; he studies archives when he searches some historical information and he can store and preserve records, archives and generally, what is now called « data », in some special buildings such as « Centres de conservation et d’études ». In spite of these obvious interactions, relationships between archeological and archival administrations (particularly regional and local archives institutions) are not so developed and not so clear, because of a lack of common vocabulary. Actually some misunderstanding may exist. Nevertheless, there are some interesting collaborations between archeologists and archivists, which could be more developped and known as professional actions, creating value for professional networks and publics.

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