Polysémie n'est pas ambiguïté

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1 janvier 2015

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Jacqueline Picoche, « Polysémie n'est pas ambiguïté », Cahiers de praxématique, ID : 10.4000/praxematique.3451


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La notion de signifié de puissance avancée par la psychomécanique de G. Guillaume propose une compréhension de certaines ambiguïtés de langage. Un rappel est fait des éléments essentiels qui constituent le concept et permettent de reconnaître deux grands types de polysémies : l’un avec mécanisme de subduction (créneaux, devoir) et l’autre sans mécanisme de subduction (hôte carte). Après un relevé des similitudes repérables entre prototype et signifié de puissance, des exemples d’ambiguïtés discursives sont examinés. Ils apparaissent imputables aux particularités des signifiés de puissance statiques (carte, note, tolérance) ou à celles des signifiés de puissance dynamiques (donner, frontière, pouvoir, devoir) ; de sorte qu’il convient de parler non pas d’ambiguïté, cas rare et singulier, mais de polysémie.

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