Deciphering the taphonomic history of an Upper Paleolithic faunal assemblage from Zouhrah Cave/El Harhoura 1, Morocco

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1 juin 2012

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Hervé Monchot et al., « Deciphering the taphonomic history of an Upper Paleolithic faunal assemblage from Zouhrah Cave/El Harhoura 1, Morocco », Quaternaire, ID : 10.4000/quaternaire.5166


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Résumé En Fr

Overlap in the use of caves between hominids and animals has frequently been documented in the prehistoric record. In the Maghreb, Zouhrah Cave, also called El Harhoura 1 (Témara, Morocco), has yielded a few Aterian lithic tools and an abundance of fauna. This faunal assemblage is dominated by gazelles (41% of identified remains) and many carnivore species, including remains of both spotted and striped hyena. Extensive porcupine activity is also evident. The observation of numerous coprolites, in combination with the study of ungulate mortality profiles, skeletal element representation and pattern of bone modifications, all demonstrate that the cave functioned more as a carnivore den than an anthropogenic site even during the Neolithic. Our analysis reveals that the Zouhrah Cave faunal assemblage was created by multiple agents: human, hyena and porcupine. We suggest that this may be a typical signature for Upper Pleistocene cave sites in the Mediterranean region.

L’utilisation alternée des grottes par les hominidés et les carnivores est fréquemment documentée dans la littérature préhistorique. Dans le Maghreb, la grotte Zouhrah, appelée aussi El Harhoura 1 (Témara, Maroc), a livré une faible industrie lithique appartenant à l’Atérien et une faune abondante dominée par les gazelles (41 % de restes identifiés) et de nombreuses espèces de carnivores, dont l’hyène tachetée et l’hyène rayée. La présence de nombreux coprolithes et les résultats des études sur les profils de mortalité, de représentation squelettiques et des modifications osseuses, sont autant d’indices suggérant que la grotte a plus fonctionné comme un repaire de carnivores qu’un site archéologique, y compris au Néolithique. Notre analyse révèle que l’origine de l’assemblage osseux de la grotte Zouhrah est le fait de multiples agents, l’homme, l’hyène et les porcs-épics, représentant une signature typique et propre du Paléolithique supérieur méditerranéen.

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