Reflections on the Quantity Theory

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17 décembre 2013

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Michael McLure, « Reflections on the Quantity Theory », Revue européenne des sciences sociales, ID : 10.4000/ress.2571


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Résumé En Fr

In 1917, Pigou published his classic article on “The Value of Money” in the Quarterly Journal of Economics. In 1920-1921, Pareto wrote a manuscript on monetary theory, “Note Critiche di Teoria Monetaria”, but it was not published until 2005 when some fragments of that manuscript were located by Fiorenzo Mornati. In both these papers the authors reflected on the quantity theory of money and both established the conditions that must be met for the theory to hold. Yet the rhetoric of Pigou in light of his analysis was very moderate, cautious and broadly supportive of the theory; whereas the rhetoric of Pareto in light of his analysis was far more direct, unequivocal and critical of the theory. In this study the analysis of Pigou and Pareto is compared and that analysis is used to explain the difference in their rhetoric pertaining to the quantity theory. It is concluded that this case is illustrative of a more general difference between Cambridge and Lausanne during the second generation of these two respective “schools” of thought.

En 1917, Pigou fait paraître son fameux article “The Value of Money” dans le Quarterly Journal of Economics. En 1920-1921, Pareto rédige de son côté un manuscrit sur la théorie monétaire, “Note Critiche di Teoria Monetaria”, qui ne sera publié qu’en 2005 à l’occasion de la découverte de quelques-uns de ses fragments par Fiorenzo Mornati. Dans chacun de ces textes, les auteurs examinent la théorie quantitative de la monnaie et entreprennent d’établir les conditions requises pour que cette dernière puisse se vérifier dans les faits. Cependant, alors que la rhétorique de Pigou, à la lumière de son analyse, reste très modérée, prudente et vise globalement à soutenir ladite théorie, celle de Pareto s’avère, quant à elle, beaucoup plus directe, non-équivoque et critique vis-à-vis d’elle. Dans cette étude, les analyses de Pigou et Pareto sont comparées l’une à l’autre de manière à expliquer les fondements de cette différence rhétorique en relation avec la théorie quantative. En conclusion, il apparaît qu’une telle différence est exemplaire d’une divergence plus générale entre les écoles de Cambridge et de Lausanne, manifeste pendant la seconde generation de ces “écoles” de pensée respectives.

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