The Penitential Psalms and Ash Wednesday Services in the Book of Common Prayer, 1549-1662

Fiche du document

Date

1 mai 2017

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/0248-9015

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2429-4373

Organisation

OpenEdition

Licences

https://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/ , info:eu-repo/semantics/openAccess



Sujets proches En

Liturgy Liturgiology

Citer ce document

Charles Whitworth, « The Penitential Psalms and Ash Wednesday Services in the Book of Common Prayer, 1549-1662 », Revue française de civilisation britannique, ID : 10.4000/rfcb.1222


Métriques


Partage / Export

Résumé En Fr

This paper traces the presence and the particular uses made of the seven Penitential Psalms in services for Ash Wednesday and related occasions, in successive versions of the Book of Common Prayer, from 1549 to 1662. A brief history of the Seven Psalms and their place in pre-Reformation liturgy, as set down notably in the Use of Sarum (though they were prescribed in ecclesiastical treatises even earlier), precedes a close examination of the evolution of their use in the first four Anglican prayer books, and in the earliest American (Episcopalian) version (1789). It is notable that the seven Psalms were included, in various groupings and at various points within the Ash Wednesday or Lenten Sunday services, throughout the period of the early revisions of the Prayer Book. The striking symmetry of the Latin incipits of the seven Psalms, and their perceived appropriateness for the services of penitence on Ash Wednesday and other services in Lent, continued to command the attention and respect of revisers of the successive versions of the Book of Common Prayer, as it had done for their predecessors since the early Middle Ages.

Les sept psaumes pénitentiels font partie des offices pour le mercredi des Cendres dans toutes les versions du Book of Common Prayer, de 1549 à 1662. Une brève histoire des sept psaumes et leur place dans la liturgie médiévale, en particulier dans le rite de Salisbury (même si des traités ecclésiastiques antérieurs les prescrivent déjà), précède ici l’examen de l’évolution de leur usage dans les quatre premières versions du Book of Common Prayer—1549, 1552, 1559, 1662—ainsi que dans la première édition américaine (1789). Il est remarquable que, de révision en révision, les sept psaumes aient toujours été incorporés aux liturgies du mercredi des Cendres ou des dimanches de Carême, tout au long des XVIe et XVIIe siècles. Sans doute, la symétrie frappante des incipits latins des sept psaumes et l’adéquation de leur contenu au temps liturgique de la pénitence avaient exercé la même séduction sur les rédacteurs des versions successives du Book of Common Prayer que sur leurs prédécesseurs depuis le haut Moyen Age.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en