30 novembre 2015
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Brendan Prendiville, « The Green Party: ‘Green Surge’ or Work in Progress? », Revue française de civilisation britannique, ID : 10.4000/rfcb.618
Depuis sa première participation aux élections législatives de 1974, le Parti vert britannique a fait beaucoup de chemin. Lors du scrutin de 2010, Caroline Lucas l’a fait entrer au parlement en remportant la circonscription de Brighton Pavilion. Cinq ans plus tard, les militants espéraient conserver au moins ce siège et, peut-être, en gagner un, voire deux autres. Ces espoirs ont grandi au cours de l’année 2014 lorsque le nombre de nouveaux adhérents au Parti vert est monté en flèche, accompagné de sondages électoraux encourageants. Les médias ont alors parlé de « poussée verte ». Néanmoins, en termes de sièges, les résultats n’ont pas répondu aux attentes et Caroline Lucas reste toujours la seule élue à Westminster. Par contre, l’augmentation importante du nombre de voix accordées au Verts génère un certain optimisme pour l’avenir électoral du parti. Dans cet article, nous présenterons une analyse de cette poussée verte pré-électorale, les ramifications politiques qu’elle a engendrées et la situation du Parti vert au lendemain du vote.