15 octobre 2014
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Pierre Frantz, « Le Wallstein de Benjamin Constant, entre dramaturgie des Lumières et Romantisme », Revue italienne d’études françaises, ID : 10.4000/rief.240
La comparaison entre le théâtre français du tournant du siècle et celui de l’Allemagne, on l’a souvent rappelé, est plutôt cruelle pour le premier. D’un côté Schiller et Goethe, de l’autre Lemercier, Chénier ou Luce de Lancival. Avec Madame de Staël, Schlegel et Benjamin Constant, le sens des transferts culturels s’est durablement inversé et la présence des dramaturges allemands, insistante depuis les années 1780, depuis Friedel, Juncker et Liebaut, possède dès lors un rayonnement remarquable...