Liminaire

Résumé 0

L’espérance est au faîte du lexique religieux. La Bible hébraïque la nourrit de la promesse divine. L’islam la fonde, face à la crainte, dans l’agrément divin des œuvres humaines. Au sein du christianisme, son statut de « vertu théologale » la place au même niveau de dignité conceptuelle que l’amour et la foi. Espérer, tel est assurément le verbe des attentes humaines, très humaines, mais aussi ce dont l’objet reste insaisissable. Abraham a ainsi espéré « contre toute espérance », dit Paul (R...

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