Il Physiologus nel Liber de natura rerum di Tommaso di Cantimpré

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20 décembre 2019

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Mattia Cipriani, « Il Physiologus nel Liber de natura rerum di Tommaso di Cantimpré », RursuSpicae, ID : 10.4000/rursuspicae.609


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Nel Prologus al suo Liber de natura rerum (1225 ca.-1260 ca.), il domenicano Tommaso di Cantimpré elenca le 15 fonti principali del suo lavoro. Al penultimo posto di tale lista, egli pone il Physiologus, descrivendolo come come un’auctoritas “abbastanza succinta e utile in diverse occasioni”. Partendo da questa indicazione, il presente articolo indaga quindi due aspetti di questo rapporto, ovvero come e quanto il trattatello di origine alessandrina è effettivamente usato nell’enciclopedia domenicana, e quale versione di tale fonte era sul tavolo di lavoro tommasiano durante la stesura del Liber.

In the Prologus to his Liber de natura rerum (1225 ca.-1260 ca.), the Dominican Thomas of Cantimpré lists the 15 sources he used most during the writing of the encyclopedia. In the penultimate place on this list, he puts the Physiologus and describes it as an auctoritas “quite succinct and useful on several occasions”. Starting from this indication, the present article investigates therefore two aspects of this relationship. First, how and how much the Alexandrian treatise is actually used in the Dominican encyclopedia. Second, what version of this didactic work was on Thomas’ desk during the drafting of the Liber.

Dans le Prologue de son Liber de natura rerum (1225 ca.-1260 ca.), le dominicain Thomas de Cantimpré énumère les quinze sources qu'il a le plus utilisées lors de la rédaction de l'encyclopédie. À l'avant-dernière place de cette liste, il place le Physiologus qu'il décrit comme une auctoritas « assez succincte, et utile à plusieurs reprises ». A partir de cette indication, le présent article étudie deux aspects de cette relation. D'abord, comment et dans quelle mesure le traité alexandrin est effectivement utilisé dans l'encyclopédie dominicaine ; en second lieu, quelle version de cette œuvre didactique se trouvait sur le bureau de Thomas lors de la rédaction du Liber.

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