21 décembre 2018
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Michel Lallement et al., « Maux du travail : dégradation, recomposition ou illusion ? », Sociologie du travail, ID : 10.4000/sdt.5998
Dans l’espace public français, l’attention a été largement portée ces dernières années sur les effets délétères des nouvelles formes d’organisation du travail. Le stress, la souffrance, le burn out, les risques psychosociaux, les suicides sont des thématiques qui mobilisent experts, médias et hommes politiques. Qu’ont à dire les sciences sociales à ce sujet ? Plusieurs réponses sont ici proposées. Elles opposent au premier chef les chercheurs qui regardent les maux du travail comme des constructions sociales à ceux qui les analysent comme les implications du mouvement d’intensification de l’activité productive.