“Depth of field” or “negative forms”: space/syntax from HDR digital photography to hypermedia navigation

Fiche du document

Date

20 juin 2017

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/1272-3819

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/1969-6302

Organisation

OpenEdition

Licences

https://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/ , info:eu-repo/semantics/openAccess




Citer ce document

Marie-Madeleine Martinet, « “Depth of field” or “negative forms”: space/syntax from HDR digital photography to hypermedia navigation », Sillages critiques, ID : 10.4000/sillagescritiques.4683


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr En

L’article explore les notions touchant la perception du contraste champ / figure dans les arts. Partant de l’oire des mots “négatif” et “profondeur de champ” en photographie au XIXe siècle, il étudie des solutions comme les combinaisons du sujet et de l’arrière-plan à partir de photos sous-exposées et d’autres surexposées ; il place la question dans un contexte chronologique plus large d’interaction entre le premier plan et l’horizon, avec procédés de cadrage et de facture dans les paysages classiques, le rôle des ombres en peinture depuis Leonard de Vinci jusqu’aux théories des Lumières sur la perception, l’exploration des effets atmosphériques et de l’éclairage par les artistes et les savants victoriens allant des décors de théâtre aux expériences physiques, et il conclut sur les versions actuelles avec les effets de lumière ou de flou dans les programmes de modélisation 3D ou les échanges entre le premier plan et l’arrière-plan dans les médias interactifs.

The article explores the notions related to the perception of the figure/ground contrast in the visual arts. Starting from the history of the words “negative” and “depth of field” in 19th-century photography, it studies solutions such as the possible combinations of main object and background from overexposed and underexposed photos. It then looks at the broader chronological context of the interplay of distance and foreground, such as framing structures and brushwork texture in classical landscapes, the role of shadows in painting from Leonardo to Enlightenment theories on perception, the exploration of atmospheric effects and of lighting by Victorian artists and scientists ranging from stage sets to physicists’ experiments. And it concludes on present-day versions of such questions with lighting or blur effects in 3D modelling programmes or exchanges between foreground and backgound in interactive media.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en