15 septembre 2021
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Michel Arrous, « Emmanuel de Waresquiel, J’ai tant vu le soleil », Studi Francesi, ID : 10.4000/studifrancesi.45184
Écrit d’une plume alerte, ce court essai témoigne de l’intime fréquentation de l’historien de la Restauration avec Stendhal. Bien que le titre, emprunté à une exclamation du consul inquiet un jour de 1834 à la perspective de mourir à Civitavecchia ou à Rome, suggère une méditation nostalgique, le propos privilégie une légèreté proche du laisser-aller stendhalien. Plutôt que d’un culte qui ne va pas sans une certaine complaisance à soi-même, on parlera d’affinité élective chez un lecteur sédui...