13 octobre 2016
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Laurence Audéoud, « La représentation maternelle dans “Le livre de ma mère” d’Albert Cohen: des marqueurs lexico-sémantiques entre euphorie et disphorie », Studi Francesi, ID : 10.4000/studifrancesi.4873
Lorsque le narrateur du Le livre de ma mère, au sein d’une dense répétition polyadique, scande à sa douloureuse façon l’éternel refrain du «jamais plus», il choisit de désigner ce repère temporel par la double périphrase métaphorique «glas des endeuillés, chant des morts que nous avons aimés», reprenant ainsi, au prix d’une légère variante, le titre donné à la première version du texte, intitulée justement «Chant de mort», publiée en quatre parties de juin 1943 à mai 1944 dans La France Libre...