26 juin 2017
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Rolf A. Stucky, « Henri Seyrig et les archéologues suisses en Syrie et au Liban : où la reconnaissance n’a pas été à la hauteur de la générosité », Syria, ID : 10.4000/syria.5321
« Un bon administrateur n’est pas forcément un excellent scientifique et vice versa ; Henri Seyrig représente l’exception qui confirme la règle. » La première phrase de ma contribution au catalogue de l’exposition Das Grosse Spiel de 2010 à Essen pourrait se poursuivre par les mots suivants : « Henri Seyrig était le contraire d’un chercheur chauvin et colonialiste, il représentait ce qu’on appellerait en allemand le “Weltbürger” — le “citoyen du monde” ». Ainsi, on peut se demander pourquoi ...