27 juin 2013
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Maria Chiara Gnocchi, « En sabots d’André Baillon : pour une stylistique du silence », Textyles, ID : 10.4000/textyles.1392
Dans le numéro spécial que Textyles consacra à Baillon en 1989, Daniel Laroche soulignait l’intérêt du premier chapitre du Perce-oreille du Luxembourg : sous une apparence anodine, ce texte livre quelques-unes des assertions les plus « fulgurantes » de l’auteur quant à sa conception de l’écriture et de la création littéraire. Cette manière d’énoncer des choix stylistiques à l’orée d’une fiction romanesque, Laroche la définissait comme une « théorie clandestine de l’écriture ». Or, le prologue...