6 mars 2013
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Anne-Marie Beckers, « Tête à tête de Paul Emond ou de la danse du fumiste à la danse de mort », Textyles, ID : 10.4000/textyles.1772
Après un détour par le théâtre – Les pupilles du tigre en 1986 –, Paul Emond renoue dans Tête à tête avec le ton cl la manière de ses deux premiers romans. Dans La danse du fumiste (1979), une seule longue phrase « danse » sous nos yeux, rebondissant sans cesse et se déversant en un flot chaotique d’histoires qui s’additionnent et s’accumulent suivant le principe de l’association libre. Comme Caracala, le gars à l’étourdissante faconde, le narrateur lâche la bride à son récit, fait bombance a...