Mémoire et intertexte dans la littérature de la 3e génération de la Shoah : Max, en apparence de Nathalie Skowronek

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9 décembre 2019

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Introduction La mémoire littéraire de la 3e génération d’après la Shoah est en voie de constitution. Bien que sa production littéraire ne soit pas encore très fournie, les titres publiés présentent un grand intérêt littéraire. Dans les lettres belges de langue française, un nom se distingue particulièrement par l’intensité de son engagement, celui de Nathalie Skowronek, petite-fille de Max, déporté au camp de Jawischowitz, et de Rayele, enfant cachée de la Shoah. Par le biais du roman Max, en...

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