Sound Bites: Music as Violence

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19 mars 2020

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O’Connell John Morgan, « Sound Bites: Music as Violence », Transposition, ID : 10.4000/transposition.4524


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Résumé En Fr

In this essay, I interrogate the ideas that concern music and violence which are presented by scholars in this Transposition special issue. Although each article is very different, common themes emerge. I interpolate these with reference to my own research into the sounds of music in the Gallipoli Campaign (1915-1916). Following Nikita Hock, I examine the notion of metaphor as it relates to underground hideouts in a war zone. Following Victor A. Stoichita, I look at how music affords distinctive pathways in the fulfilment of or disengagement from acts of violence. Following Sarah Kay, I examine the ways in which contrafactum helps clarify the ambivalent positionality of Allied recruits in a foreign campaign. I also refer to Kay’s notion of “extimacy” when interpreting expressionist representations of warfare in the Dardanelles.

Dans cet essai, je discute les idées concernant la musique et la violence présentées par les contribut·eurs·rices de ce numéro hors-série de Transposition. Bien que les articles soient très différents les uns des autres, des thèmes communs émergent. Je les croise avec ma propre recherche sur les sons musicaux de la campagne de Gallipoli (1915-1916). En suivant Nikita Hock, j’examine la notion de métaphore en ce qui concerne les cachettes souterraines en zone de guerre. En suivant Victor A. Stoichita, je regarde comment la musique offre différents chemins dans l’accomplissement ou le désengagement d’actes de violence. En suivant Sarah Kay, j’examine les façons dont le contrafactum aide à clarifier la positionnalité ambivalente des recrues alliées dans le cadre d’une campagne étrangère. Je me réfère également à la notion d’« extimité » proposée par Sarah Kay au moment d’interpréter les représentations expressionnistes de la guerre dans les Dardanelles.

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