“The Long Freak Out”: Unfinished Music and Countercultural Madness in 1960s and 1970s Avant-Garde Rock

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1 septembre 2016

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Jay Keister, « “The Long Freak Out”: Unfinished Music and Countercultural Madness in 1960s and 1970s Avant-Garde Rock », Volume !, ID : 10.4000/volume.3413


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This article examines avant-garde ‘freak out’ recordings in rock music: extended album tracks that suggest madness in their sonic anarchy, conceptual absurdity and amateur technique. Products of the counterculture rooted in the historical avant-garde, these recordings by musicians in the 1960s and 1970s rejected musical conventions of song structure, meaning and competence in their attacks on an emerging music industry. While such extreme recordings bring to the fore the uneasy relationship between art and rock, avant-garde recordings by pop musicians are not antithetical to rock, but part of its discourse of rebellion. This article demonstrates how recordings of this kind ranging from the hippie era of the 1960s to the postpunk era of the late 1970s functioned more as aggressive acts of resistance to social and musical convention than attempts to elevate popular music to a higher level of art.

Cette contribution examine les enregistrements « freak out » dans le rock, à savoir de longs titres d’album qui, par leur anarchie sonore, leur absurdité conceptuelle et leur technique amateure, connotent la folie. Ces enregistrements datent des années 1960 et 1970 et sont de purs produits de la contre-culture, tout en étrant enracinés dans la tradition des avant-gardes artistiques. Dans leurs attaques lancées contre l’industrie du disque, ils rejetaient les conventions musicales à l’œuvre à l’époque : structures des chansons, signification et compétence technique. Là où des disques aussi extrêmes mettent en évidence les relations difficiles entre art et rock, que des musiciens pop s’essaient à l’avant-gardisme n’est pas antithétique au rock ; au contraire, elle fait partie de son discours de révolte. Cet article démontre comment cette production, qui va de l’époque hippie des années 1960 au post-punk de la fin des années 1970, fonctionna plus comme une série actes de résistance agressifs contre les conventions sociales et musicales que comme des tentatives d’élever les musiques populaires au rang d’art légitime.

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