18 juin 2024
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Tiphaine Martin, « De la laisse féminine : Colette, A. Christie, P. Gaspard-Huit, C. Klapisch », Voyages autour de mon cerveau, ID : 10.58079/11ukc
L’attachement des femmes aux hommes et vice-versa dans le cadre du couple hétérosexuel est parfois jugé de manière ironique par les écrivaines et les scénaristes, alors symbolisé par un collier et une laisse. Il en est ainsi dans La Vagabonde (Colette, 1910), La Plume empoisonnée (Agatha Christie, The Moving Finger, 1942). Pensons également au film La Mariée est trop belle (Pierre Gaspard-Huit, 1956) et Un air de famille (Cédric Klapisch, 1996). L’héroïne de Colette, Renée Nérée, trentenaire...