3 novembre 2010
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Yoann Moreau, « Hiroshima : ombre et lumière de la photographie (atomique) », Catastrophes, ID : 10.58079/max8
Pour que l'on puisse photographier quelque chose il faut nécessairement de la lumière, un minimum. Aux limites de la pénombre et de l'obscure, pour que le grain ne meure, il faut une source de clarté minimale : la lumière d'une chandelle, un fin croissant de lune, une trouée nuageuse vers les étoiles, un briquet crépitant sous le visage d'un fumeur. Cette lumière fragile, il m'est arrivé de l'attendre en chambre noire, avec un ami photographe spécialiste des lueurs. ((Il s'agit de Jonas Hörn...