De la destruction d’une société à la sauvagerie criminelle. A propos de sa Majesté des Mouches.

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2 mars 2022

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Anne-Blandine Caire, « De la destruction d’une société à la sauvagerie criminelle. A propos de sa Majesté des Mouches. », Criminogonie, ID : 10.58079/ndvm


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Par Camille M'Nasri, étudiante du Master Carrières Judiciaires, Université Clermont Auvergne (promotion 2020-2021) Selon Rousseau, l’homme est naturellement bon et c’est la société qui le pervertit. Il s’oppose ainsi à Hobbes qui estime que « l’homme est un loup pour l’homme » et en déduit que ce dernier, naturellement mauvais, est enclin à la destruction d’autrui. Avec Sa Majesté des Mouches, William Golding nous propose une réflexion alternative. Dans son roman, des enfants âgés de si...

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