Les corps exposés à l'ombre des subalternes du soin

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« Parce que sans nous, le monde s’arrête »[1]. Caroline Ibos et Clyde Plumauzille La récente pandémie du Coronavirus a rappelé que la vulnérabilité ontologique est une condition partagée. Alors que sous le coup des catastrophes naturelles, de la crise climatique et des épidémies, chacun·e sent sa vie menacée, la sensibilité collective capte le soin comme l’une des modalités, longtemps dévaluée mais finalement désirable, des relations entre les personnes. Or, celles et ceux sommés de prendre ...

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