12 mars 2014
info:eu-repo/semantics/openAccess
Anaëlle Touboul, « Le pouvoir des fleurs dans le roman policier », Écrivez-le avec des fleurs, ID : 10.58079/orwu
Les fleurs appartiennent au vocabulaire récurrent du roman policier, scandé par des expressions plus ou moins figées : les potentielles victimes ont les « nerfs à fleur de peau », les suspects sont « effleurés » par un soupçon, comme Henriette dans « Le Collier de la Reine[1] », une nouvelle d’Arsène Lupin. Comment expliquer par ailleurs la très grande proportion de titres comportant le nom d’une fleur dans ce genre très populaire[2] ? Le premier pouvoir des fleurs semble être le pouvoir ...