Arrêt sur images : de drôles de marges enluminées

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A partir du milieu du XIIIe siècle et pour environ un siècle, les marges des manuscrits se peuplent de petites scènes appelées drôleries. Tout un univers foisonnant fait alors son apparition. Inspirées du bestiaire médiéval et des fables, ces représentations à portée morale mettent à l’honneur de nombreux animaux, comme la licorne, le singe, le renard ou la cigogne. BnF, Latin 14284, f. 29, initiale historiée (ivresse de Noé) et dans les marges, créatures hybrides et deux singes jouant aux...

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