Revue de cartels : "il n’y a rien à comprendre, il y a tout à voir"

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17 juillet 2017

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Il fut un temps où l'on expérimentait leur suppression : Francois Mathey l'a fait lors de l'exposition  " Equivoques" en 1973, lorsqu'il a choisi de questionner la valeur des oeuvres des peintres pompiers du XIXe siècle qu'il montrait sous un jour nouveau, démarche toujours débattue  depuis. Daniel Cordier a effectué le même choix, lors de l'exposition consacrée à sa deuxième donation déposée  aux Abbattoirs à Toulouse, en 2009, intitulée  "Les désordres du plaisir" . Il n'y a rien à compren...

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