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1 septembre 2022
- doi: 10.58079/ve6i
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Knowledge--Philosophy Nineties (Twentieth century decade) 1990s 90s (Twentieth century decade) Self-fulfillment Fulfillment (Ethics) Personal development Growth (Psychology) Personal growth Gladness Gladness Nineties Desarrollo personal Plenitud (Ética) Realización personal (Ética) Satisfacción personal GIE Petites et moyennes entreprises Groupement d'intérêt économique PME Sondage Phénoménologie Logique philosophique Morale Développement personnel Années nonante (vingtième siècle) Années quatre-vingt-dix (vingtième siècle) 1990 (décennie) Nonante, Années (vingtième siècle) Quatre-vingt-dix, Années (vingtième siècle) Décennie 1990 Années 90 (vingtième siècle) Épanouissement de soi Accomplissement de soi Réalisation personnelle Plénitude (morale) Développement personnel Sciences de la gestion Gestion, Sciences de la Sciences de gestion Techniques de gestion Direction Management Et la philosophie Contribution à la philosophie Philosophie occidentale Aspect philosophique Contentement Félicité anglais bonheur (concept)Citer ce document
Nathalie Lemenager, « Le business du bonheur », SQUAPIN, ID : 10.58079/ve6i
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Résumé
La psychologie positive, conceptualisée aux États-Unis à la fin des années 1990, s’est imposée en Europe par le biais du management d'entreprise. Enquête sur une discipline contestée, proche du développement personnel. Les fondateurs et les défenseurs de la psychologie positive (le chercheur américain Martin Seligman, l’économiste anglais Richard Layard, le psychiatre Christophe André…), ainsi que ceux qui la critiquent (la docteure en philosophie Julia de Funès, les sociologues Éva Illouz...