Ce que les témoins de première ligne des services communautaires de main-d’oeuvre savent de li’ntégration en emploi

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2001

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Nouvelles pratiques sociales ; vol. 14 no. 2 (2001)

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Chantal Leclerc et al., « Ce que les témoins de première ligne des services communautaires de main-d’oeuvre savent de li’ntégration en emploi », Nouvelles pratiques sociales, ID : 10.7202/009077ar


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L’article expose les résultats d’une enquête sur l’explicitation des savoirs d’expérience développés dans les organismes communautaires qui offrent des services de main-d’oeuvre à des personnes dites « défavorisées sur le plan de l’emploi »1. Il met en évidence certains écarts qui existent entre les modèles prescrits de services pour lesquels les organismes sont financés par l’État et le travail réel, mais souvent invisible et non reconnu, qui se fait sur le terrain. Les résultats de cette recherche montrent comment les intervenants ont dû renoncer aux discours idéalistes pour devenir des spécialistes avertis de l’insertion limitée et des contraintes à l’insertion.

The following paper submits results from a study on the clarification of know-how developed in community organisations offering labour services to so-called « employment under-privileged » people. It puts forth some discrepancies between prescribed models of services for which these organisations are state funded and the real but often invisible and non-acknowledged field work. Results show how skilled workers had to give up idealistic statements to become experts in the field of limited integration and its constraints.

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