Treatment and Rehabilitation of Delinquent Youth : Some Sociocultural Considerations

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1971

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Acta Criminologica ; vol. 4 no. 1 (1971)

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LE TRAITEMENT ET LA REHABILITATION DU DELINQUANT : QUELQUES CONSIDERATIONS SOCIOCULTURELLESCe rapport s'efforce d'etablir la relation entre certains facteurs socioculturels ( communautaires, institutionnels, « organisationnels », et individuels ) et le traitement ou la rehabilitation du jeune delinquant. Sur le plan communautaire, le choix de mecanismes formels d'intervention qui sont preferes, ou substitues, a des methodes informelles et non officielles, varie selon : 1 ) les perceptions qu'a la communaute de la delinquance et des jeunes delinquants; 2) le statut socio-economique qui prevaut chez les membres de la communaute; 3) le statut socio-economique et l'origine ethnique du jeune delinquant; 4) le degre de concordance entre 2) et 3).L'auteur suggere que les classes moyennes, meme lorsqu'elles adoptent le principe de l'individualisation de la justice et de la rehabilitation pour le juvenile et qu'elles acceptent une politique de reinsertion sociale pour lesjeunes en difficulte et pour les delinquants de la classe moyenne, conservent des stereotypes si negatifs sur le style de vie des classes inferieures qu'il en resulte frequemment une attitude punitive plus forte a l'egard des delinquants de ces classes sociales. Il appert en outre que, dans le cas ou le systeme officiel d'intervention n'est pas compris par la communaute ou s'ecarte suffisamment du sentiment collectif, la communaute non seulement ne soutient pas son action mais va jusqu'a saper celle-ci.L'examen de la structure de fonctionnement des services institutionnels revele de plus un desequilibre entre les ressources sociales et les ressources psychiatriques. Dans les classes sociales inferieures, l'absence relative de programmes de prevention et de services non judiciaires est aggravee par le recours a des criteres selectifs d'admission, par les longues listes d'attente, et par l'absence de ressources therapeutiques appropriees dans les quelques services qui existent, ce qui amene l'utilisation excessive des mecanismes formels d'intervention avec les jeunes, qu'ils soient des delinquants endurcis ou des jeunes aux prises avec de serieux problemes d'adaptation. Le resultat a ete de faire de la cour juvenile un « depotoir » pour les adolescents a problemes, alors que ceux-ci devraient et pourraient etre pris en main plus efficacement par des services commmunautaires n'ayant pas de caractere judiciaire.A l'examen, il est evident que les principes d'organisation du systeme de justice juvenile et de mise en application des politiques dependent pour une large part : 1 ) de la philosophie et de l'orientation en ce qui concerne l'etiologie et la therapeutique de la delinquance juvenile; 2) de leur propre experience avec certains groupes de la population juvenile; 3) de la frequence et de l'intensite des contacts et des communications avec les autres agences dans le systeme; 4) des valeurs, de la formation, de l'experience personnelle et des perceptions individuelles, des attitudes et des autres biais des membres du personnel.Les ideologies et les objectifs contradictoires, les politiques inappropriees et les changements de procedure compromettent frequemment les objectifs theoriques du systeme de justice juvenile qui peuvent etre excellents, en les sacrifiant a des considerations d'efficacite et d'opportunisme. Le resultat est le refus quasi inevitable de dispenser des « soins appropries et un traitement regenerateur » aux jeunes delinquants, tels que stipules dans l'esprit et le texte de la loi.L'effort qui a ete fait pour identifier les elements importants (personnels, sociaux et culturels) sur lesquels reposent les decisions qui concernent l'intervention et le traitement revele : 1) l'absence de consensus sur les caracteristiques significatives qui differencient le delinquant endurci du delinquant primaire ou occasionnel; 2) l'incertitude par rapport a l'importance qui doit etre donnee lors de l'evaluation, a la presence ou a l'absence de certaines caracteristiques; 3) l'incoherence dans la relation entre ces caracteristiques et le choix du traitement.Les modeles d'action bases sur la tradition et sur l'intuition prennent le plus souvent le pas sur ceux qui sont bases sur des criteres scientifiques, si bien que la « maladie » est frequemment assimilee a criminalite ou mechancete. En somme, les jeunes de la classe inferieure ou les jeunes des groupes minoritaires sont le plus souvent desavantages a l'interieur de l'appareil judiciaire, en meme temps qu'est perpetue le mythe de l'individualisation du traitement.Etant donne ces faits, l'auteur souligne l'urgence de l'education des citoyens. Il importe de les amener a une conception plus eclairee du probleme de la delinquance ainsi qu'a une plus grande comprehension et connaissance des objectifs de la prevention et du controle social. La priorite doit etre donnee au support communautaire et a l'acquisition de la responsabilite. Pour ce faire, il faut developper un systeme plus etoffe et tres specifique qui permettrait de s'eloigner de la clinique traditionnelle et de l'approche psychogenetique de la delinquance. Une approche interdisciplinaire eclairee de l'etiologie et des solutions a apporter au comportement criminel s'impose. Un systeme doit etre developpe dans lequel seraient concilies sanscompromis les objectifs de la punition, du controle de la prevention et de la rehabilitation; il servirait a affronter plus efficacement tous les problemes de la jeunesse qui necessitent notre attention.Indubitablement, l'efficacite d'un tel systeme est conditionnee par la philosophie qui l'inspire, par la politique et les procedures qui sont appliquees, par le personnel et par l'appui qu'il recoit de la communaute. Si le delinquant est au depart le produit d'un jugement social, le delinquant rehabilite doit aussi etre un produit de la communaute, donc d'un systeme capable de le servir et de l'aider a resoudre ses problemes. Il importe que chacun de nous puisse souscrire a la realisation de ce traitement individuel et puisse demander l'abandon des pratiques discriminatoires, et non scientifiques, auxquelles la societe fait frequemment appel. Enfin, le principe de l'equite doit remplacer le present systeme d'une justice de classe.

EL TRATAMIENTO Y LA REHABILITACIONDEL JOVEN DELINCUENTE :ALGUNAS CONSIDERACIONES SOCIOCULTURALESEste trabajo es un intento de explicacion del tipo de relacion existente entre ciertos factores socioculturales (comunitarios, institucionales, indivi-duales y de organizacion) y el tratamiento y la rehabilitacion del joven delincuente. Desde el punto de vista comunitario, la intensidad cou que los mecanismos formales de intervencion son preferidos y reemplazados por metodos informales y no oficiales de arreglo varia segun : 1 ) la percepcion que la comunidad tiene de la delincuencia y del joven delincuente; 2) el estatuto socio-economico dominante entre los miembros de la comunidad;3) el estatuto socio-economico y el origen etnico del joven delincuente;4) la intensidad de la diferencia entre 2) y 3).Las comunidades de clase media tienden a adoptar una orientacion individual y de rehabilitacion de la justicia juvenil y a aceptar una politica de reinsercion social para los delincuentes de clase media o para los pro-blemas de los jovenes. Los estereotipos de dichas comunidades sobre el estilo de vida de las clases inferiores son negativos; de ello resulta frecuentemente una actitud punitiva mas pronunciada respecta a los delincuentes de dichas clases socio-economicas. Cuando el sistema de intervencion social oficial es ignorado por la comunidad o bastante diferente del sentimiento colectivo, no solo la comunidad seria incapaz de apoyar cualquier accion efectiva sino que incluso la haria fracasar.El examen de esta relacion segun la perspectiva de una estructura de servicio institucional revela un equilibrio inestable entre los recursos de los servicios sociales y psiquiatricos. En las comunidades de clase social baja, la ausencia relativa de programas validos de prevencion y de servicios no judiciales se acompafia de la presencia de criterios selectivos de admision, de largas listas de espera y de recursos inadecuados de tratamiento, lo cual contribuye substancialmente a la utilizacion desproporcionada de mecanismos formales de intervencion contra los jovenes de la clase social baja, muchos de los cuales son delincuentes endurecidos o que manifiestan serios problemas de adaptacion psicologica. El resultado ha sido que los tribunales de menores se han convertido en una especie de « vertedero » de todos los jovenes que presentan problemas, los cuales deberian y podrian ser tratados mas eficazmente por servicios sociales no judiciales.El caracter de la organizacion del sistema de la justicia juvenil y las politicas utilizadas por una agencia dada dependen en gran parte de : 1) su filosofia y de la orientacion que dan a la etiologia y a la solucion del problema de la delincuencia juvenil; 2) su propia experiencia de los sub-grupos de la poblacion juvenil; 3) la frecuencia e intensidad del con-tacto y de la comunicacion con las demas agencias del sistema; 4) los valores, formacion, experiencia personal y percepcion individual, actitudes y defectos de los funcionarios.ABSTRACTS 107Las ideologias en conflicto, las politicas nocivas y las variaciones en el procedimiento penal comprometen frecuentemente los objetivos teori-camente excelentes del sistema de justicia juvenil a causa de consideraciones de eficacia y oportunidad pasadas de moda. El resultado evidente es la negacion casi inevitable de « cuidados apropiados y tratamiento regene-rador », previstos en el espiritu y en la letra de la ley sobre jovenes delincuentes.El trabajo realizado para identificar los principales elementos determinantes de las decisiones de aptitud y tratamiento (personal, social y cultural) y a explicar las bases de taies decisiones revela : 1) una falta de acuerdo sobre las caracteristicas significativas que distinguen el delin-cuente endurecido del primario o del ocasional; 2) el grado de significacion que debe acordarse, en el momenta de la evaluacion, a la presencia o ausencia de ciertas caracteristicas; 3) el grado de relacion entre dichas caracteristicas y la seleccion del tratamiento.Los modelos basados en la tradicion y en la intencion dominan a menudo sobre los que se apoyan en criterios cientificos, de tal manera que frecuentemente se asimila la « enfermedad » al dafio causado o al crimen cometido. En resumidas cuentas, la clase baja de la poblacion y los jovenes de grupos minoritarios ocupan en la mayoria de los casos una situacion de inferioridad en todos los sectores del aparato judicial, perpetuandose el mito de la individualizacion del tratamiento.Teniendo en cuenta estos hechos, el autor pone en evidencia la urgencia de la educacion de los ciudadanos mediante una interpretacion mas clara de los problemas de la conducta de los jovenes delincuentes y una mayor comprension y conocimiento de los objetivos de la prevencion de la delin-cuencia y del sistema de control social. Debe consolidarse el soporte comu-nitario desarrollandose y aplicandose un sistema amplio y especifico gracias al que nos alejariamos de la via clinica tradicional o de la perspectiva psicogenetica de la delincuencia. Para ello, debe utilizarse un examen inter-disciplinario inteligente de la etiologia y de las soluciones de las conductas criminales. Debe ademas desarrollarse un sistema en el que estarian conci-liados, sin compromiso alguno, los objetivos de castigo, de control, de prevencion y de rehabilitacion; dicho sistema serviria con mas eficacia a todos los problemas de la juventud que llaman nuestra atencion.No cabe la menor duda que tal sistema solo podra ser efectivo y eficaz si representa un guia filosofico de politica y de procedimiento activos y personales, sus posibilidades de aplicacion dependiendo del apoyo activo y adecuado que la comunidad le preste. Si inicialmente el delincuente es el producto de un juicio social, el delincuente rehabilitado debe ser tambien un producto de la comunidad y del sistema que se dedicara a servirle y ayudarle a resolver sus problemas, de tal manera que cada ciudadano pueda suscribir a la entera realizacion del tratamiento individual y pedir el aban-dono de practicas discriminantes no especificas y bastante frecuentes. Final-mente, el principio de equidad debe reemplazar al sistema actual de justicia de clases.

DIE BEHANDLUNG UND REHABILITIERUNG DER JUGENDLICHEN RECHTSBRECHER : EINIGE SOZIALKULTURELLE BETRACHTUNGENDer Artikel stellt den Versuch dar, die Art der Beziehung zwischen ausgewahlten soziokulturellen Faktoren (auf kommunaler, institutionneller, organisatorischer und individueller Ebene) und der Behandlung und Reha-bilitierung jugendlicher Rechtsbrecher zu beleuchten. ,Auf kommunaler Ebene ergab sich, dass der Grad formeller Interven-tionsmoglichkeiten, so wie er informeller Handhabung verschiedener Losun-gen und Wiedereingliederungen gegenuber bevorzugt wird, von folgenden Faktoren abhangt : 1) der Auffassung der Gemeinschaft von Verbrechen und Verbrechern; 2) dem vorherrschenden sozio-okonomischen Status derEinheimischen; 3) der sozio-okonomischen und ethnischen Herkunft des Rechtsbrechers; 4) dem Ausmass der Ubereinstimmung und Nichtubereinstimmung von 2) und 3). Es wurde darauf hingewiesen, dass, obwohl gutburgerliche Gemeinschaften versuchen, eine individuelle und rehabilitierende Einstellung zur Jugendgerichtsbarkeit anzunehmen und eine Politik der «Absorption» hinsichtlich der mittelstandischen Rechtsbrecher (middle-class offenders) und der Jugendprobleme im allgemeinen auszuuben, ihre negative Einstellung zu « unterstandischem Lebenstil » haufig in eine unver-haltnismassig ponalisierende Haltung dem unterstandischen Rechtsbrecher gegenuber ausartet. Des weiteren wurde darauf hingewiesen, dass da, wo eine offizielle Kontrollordnung von der Gemeinschaft missverstanden wird, oder sie doch ziemlich verschieden vom vorherrschenden Gemeinschaftsgefuhl, so wie es sie auffasst, ist, es nicht nur der Gemeinschaft nicht gelingt, die Handhabung effektiv zu gestalten, sondern dass sie sie baldigst unterhohlen wird.Die Untersuchung der Beziehung aus der Sicht institutionneller Organisationen zeigt ein ungleiches Niveau sozialer und psychiatrischer Dienstleistungen. In unterstandischen Gemeinschaften tragt die relative Abwesenheit gangbarer Praventionsprogramme und nichtgerichtlicher Massnahme-moglichkeiten, gepaart mit selektiven Aufnahmekriterien, langen Wartelisten, unangemessenen und ungeeigneten Behandlungsmethoden in den wenigen vorhandenen Programmen, wesentlich dazu bei, dass die formellen Interventionsmoglichkeiten, gegenuber der unterstandischen Jugend, den verharteten Delinquenten und den Jugendlichen, die ernsthafte Probleme psychosozialer Anpassung aufweisen, in ungleicher und unverhaltnismassiger Art und Weise gebraucht werden. Der Erfolg ist, dass aus dem Jugendgericht eine Grube fur alle moglichen Probleme geworden ist, welche erfolgreicher von nichtgerichtlichen Diensten gehandhabt werden konnten und sollten. Was den organisatorischen Charakter der Jugendgerichtsbarkeit betrifft, so scheint es klar zu sein, dass das Vorgehen der Behorden in einem weiten Ausmasse von folgenden Kriterien geleitet wird : 1 ) die eigene Weltanschauung und personliche Auffassung der Jugendkriminalitat und ihrer moglichen Losung; 2) die besondere individuelle Erfahrung mit Rechtsbrechern; 3: die Haufigkeit und Intensitat der Kontaknahme mit anderen, gleichartigen Behorden; 4) die moralische Werte, die Ausbildung, die berufliche Erfahrung und sonstige Einstellungen der betreffenden Beamten.Ideologien und Zielsetzungen, die miteinander im Widerstreit stehen, politische Rucksichtnahmen und die Verschiedenheiten des gerichtlichen Verfahrens stellen oft genug die an sich ausgezeichnete theoretische Grundlagen des Jugendgerichtsbarkeitssystems in Frage, weil das Problem der Wirksamkeit und der Durchschlagskraft in den Vordergrund geruckt werden. Das Ergebnis ist das meist unausbleibliche Nichterreichen der « wohlwollenden Fursorge und der Wiedereingliederung » fur die jugendlichen Rechtsbrecher, so wie es der Geist und die Worte des Gesetzes fordern.Die Bemuhung, einige der drangenden personlichen, sozialen und kulturellen Faktoren der Verhandlungs- und Behandlungsentscheidungen zu koordinieren und die Grundlagen fur diese Entscheidungen zu erklaren, zeigt folgendes : 1 ) ein Mangel an Ubereinstimmung daruber, was den ruckfalligen vom einmaligen oder gelegentlich tatig werdenden Rechtsbrecher unterscheidet; 2) die Bedeutung, die bei der Fallbehandlung gewissen Charakteristiken zugemessen wird; 3) die Beziehung zwischen diesen Kriterien und der Wahl der Behandlungsmethode. So ist die allgemeine Einstellung meist durch Tradition und Intuition gepragt, wobei wissenschaftliche Kriterien in den Hintergrund treten. So kommt es, dass « Krankheit » haufig mit « Falschheit » oder mit « Gefahrlichkeit » gleichgesetzt wird. So lasst sich also sagen, dass jugendliche .— vor allem unterstandische — Minderheiten oft im Jugendgerichtssystem benachteiligt werden, und dass die individuelle Behandlungsmethoden einen Mythos darstellen.Angesichts dieser Tatsachen weist der Autor auf die unbedingte Notwendigkeit hin. die Allgemeinheit in verstandnisvoller Weise mit den Pro-blemen der Jugendkriminalitat vertraut zu machen und sie dadurch zu einer wohlwollenden Einstellung zur Pravention zu fuhren. Mit Nachdruck ist auf ihre Mitverantwortung bei der Entwicklung und Handhabung der Fursorgeinstitutionen hinzuweisen, und hier vor allem bei denen, die mit der bisher ublichen traditionnellen und klinischen Behandlungsmethode arbeiten, die zu modifizieren und anders zu gestalten sind. Wir brauchen vor allem eine interdisziplinare Annaherung an das Problem und die Losungsmoglichkeiten der Jugendkriminalitat. Es muss ein System entwickelt werden, dass ohne Kompromiss die Ziele der Bestrafung, der Aufsicht und der Wiedereingliederung verbessert, und welcher wirksam dazu beitragt, uns auf die Jugendprobleme aufmerksam zu machen.Es besteht kein Zweifel daruber, dass die Wirksamkeit eines solchen Systems von der Philosophie seiner Errichter, von der Politik und der Verfahren, die darin angebracht werden, von der Einstellung des Personals und der Unterstutzung, die ihm von der Gemeinschaft geboten wird, abhangt. So wie die Jugendkriminalitat anfanglich ein Produkt der sozialen Bewertung gewesen ist, so ist der rehabilitierte Rechtsbrecher ebenfalls ein Produkt all der Organisationen, die dazu bestimmt sind, ihm zu helfen und seine Probleme mitzulosen. So haben wir tatkraftig mitzuwirken an der Gestaltung individueller Behandlungsmethoden und die Forderung zu unterstreichen, dass unwissenschaftliche und diskriminierende Praktiken zu unterbleiben haben. Das Prinzip der Gleichheit schliesslich muss das gegenwartige System der « Kadi »-Justiz ersetzen.

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