Femmes et libre-échange en Amérique latine : le cas du Réseau latino-américain des femmes transformant l’économie

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2007

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Lien social et Politiques ; no. 58 (2007)

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Carmen Díaz Alba, « Femmes et libre-échange en Amérique latine : le cas du Réseau latino-américain des femmes transformant l’économie », Lien social et Politiques, ID : 10.7202/017554ar


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Le Réseau latino-américain des femmes transformant l’économie (REMTE, acronyme espagnol) a contribué à rapprocher les questions d’économie et de genre, en incitant les organisations à regarder le libre-échange comme une problématique genrée et en apportant une perspective féministe aux mouvements critiques du libre-échange. Les critiques féministes des théories dominantes sur les mouvements sociaux transnationaux considèrent que : 1) les études transnationales sont biaisées par une vision masculine des mouvements et des stratégies ; 2) l’objet d’analyse porte principalement sur l’État et le court terme ; 3) il est nécessaire d’aborder les dynamiques de genre au sein des mouvements sociaux. Dans cet article, l’auteur montre que la prise en compte de ces critiques nous permet de mieux comprendre le cas du REMTE.

The Latin American Network of Women Changing the Economy, whose acronym is REMTE in Spanish, helped bring together issues of the economy and gender, pressing for organisations to understand free trade from a gender perspective and bringing a feminist analysis to criticisms of free trade. Feminists have three critiques of social movement theory prevailing today : 1) studies of transnationalism are biased by a masculine vision of movements and strategies ; 2) the focus of analysis is too state-centric and short-term ; 3) it is important to understand gender dynamics within social movements. This article shows that attention to these criticisms provides a stronger analysis of the case of REMTE.

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