Riding into Place: Contact Zones, Rodeo, and Hybridity in the Canadian West 1900–1970

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2007

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Journal of the Canadian Historical Association ; vol. 18 no. 1 (2007)

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Résumé En Fr

Each year, people gathered in small towns across the Canadian west to participate in rodeos and stampedes. While these events were often organized to promote and celebrate the non-Native community, organizers were keen to invite Aboriginal people. And Aboriginal people flocked to them. This paper explores the ways in which rodeos and stampedes functioned as points of contact between First Nations, mixed-heritage, and non-Native people. It explores why non-Native communities invited First Nations and why Aboriginal people accepted. It examines the place of on-reserve rodeos in the development of rodeo in western Canada and the extent to which they attracted non-Native people. It then examines how interactions at rodeos were structured by gender and racialization, and how these structures were sometimes overcome. Finally, it offers a glimpse at the emergent community of professional rodeo which, reputedly, embraced all rodeo cowboys regardless of ethnicity. In so doing, this paper explores how hybridity and liminality played a role in the development of Western Canadian rodeo and hence in the community celebrations in towns and cities in British Columbia and Alberta.

Chaque année, la population se rassemble dans de petites villes de l’ensemble de l’Ouest canadien pour participer à des rodéos et à des stampedes. Même si, par le passé, de tels événements ont souvent été organisés en vue de promouvoir et de célébrer la collectivité non autochtone, les organisateurs tenaient à inviter les Autochtones. Et les Autochtones s’y rendaient en grand nombre. Cet article explore les façons dont les rodéos et les stampedes ont servi de points de contact entre les peuples des Premières nations, les Métis et les non autochtones. Il explore la raison pour laquelle les collectivités non autochtones invitaient les Premières nations et pourquoi les Autochtones acceptaient. Il examine la place des rodéos sur les réserves dans l’histoire du développement du rodéo dans l’Ouest canadien et montre à quel point ceux-ci attiraient les non autochtones. Il examine ensuite comment les interactions lors des rodéos étaient structurées par genre et par race, et comment de telles structures ont parfois pu disparaître. Finalement, il offre un aperçu de l’émergence du rodéo professionnel qui a rassemblé, probablement, tous les cow-boys de rodéo peu importe leur origine. Par la même occasion, cet article explore comment l’hybridité et la liminalité ont joué un rôle dans le développement du rodéo dans l’Ouest canadien et, par conséquent, dans les célébrations communautaires des villes et municipalités de la Colombie-Britannique et de l’Alberta.

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