« J’aime le scénario, mais comme tu t’amuses à raconter, il faut bien que j’intervienne un peu, tu comprends ? »

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1999

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Cinémas : Revue d'études cinématographiques ; vol. 9 no. 2-3 (1999)

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Lise Gauvin et al., « « J’aime le scénario, mais comme tu t’amuses à raconter, il faut bien que j’intervienne un peu, tu comprends ? » », Cinémas: Revue d'études cinématographiques / Cinémas: Journal of Film Studies, ID : 10.7202/024786ar


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Cet article traite de la présence de « scénarios fictifs » dans les deux romans Le Baiser de la femme-araignée de Manuel Puig (1979) et Une histoire de coeur de Jacques Savoie (1988). L'écriture est abordée ici dans le sens d'un texte visuel s'adressant à un lecteur/spectateur, à l'image du scénario et de la critique cinématographique. Une réflexion est développée sur la « matrice » de textes visuels : il s'agit d'une activité fébrile reposant sur un caractère bifocal exhibant suggestion et absence en même temps que comblement et remplacement, une dynamique des traces et des mémoires.

This article deals with the presence of "fictitious screenplays" in the novels The Kiss of the Spider Woman by Manuel Puig (1979) and Une histoire de coeur by Jacques Savoie (1988). Writing is approached here in the sense of a visual text addressed at a reader/spectator, as are screenplays and film criticism. At stake is the matrix of visual texts and what produces them : a febrile activity, bifocal in character, simultaneously evincing suggestion and absence, fulfillment and replacement, a dynamic of traces and memories.

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