« Le plus triste de la fin du monde, c'est peut-être que personne ne pourra la raconter »

Fiche du document

Auteur
Date

1993

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Source

Tangence

Relations

Ce document est lié à :
Tangence ; no. 42 (1993)

Collection

Erudit

Organisation

Consortium Érudit

Licence

Tous droits réservés © Tangence , 1993



Citer ce document

Simon Harel, « « Le plus triste de la fin du monde, c'est peut-être que personne ne pourra la raconter » », Tangence, ID : 10.7202/025788ar


Métriques


Partage / Export

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en