Ice Marks in Newfoundland: A History of Ideas

Fiche du document

Date

1982

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Relations

Ce document est lié à :
Géographie physique et Quaternaire ; vol. 36 no. 1-2 (1982)

Collection

Erudit

Organisation

Consortium Érudit

Licence

Tous droits réservés © Les Presses de l'Université de Montréal, 1982


Sujets proches Fr

ICE

Citer ce document

Ian A. Brookes, « Ice Marks in Newfoundland: A History of Ideas », Géographie physique et Quaternaire, ID : 10.7202/032474ar


Métriques


Partage / Export

Résumé En Fr

This essay traces the evolution of ideas on the origin of features in Newfoundland now ascribed to glaciation, through the period 1822-1981. It identifies "Pre-cognitive," "Drift," and "Glacial" phases, with the last phase divided into seven sub-phases. In the Glacial Phase, debate centred on 1) the relative roles of Labrador ice and ice from the island of Newfoundland, 2) the areal and vertical extent of ice masses, and 3) the number and chronology of glacial episodes. Alexander Murray is credited with first recognizing glaciation in Newfoundland in 1866, and the background to his perspicacity is discussed. The evolution of ideas from the late-nineteenth century to the present is related to improving access, exploration by increasingly widely experienced scientists, the import of concepts from outside the region, the development of chronological tools, and improvements in glaciological theory.

Le présent article retrace l'évolution de la pensée quant à l'origine des formes, qu'on sait aujourd'hui glaciaires, à Terre-Neuve, pour la période allant de 1822 à 1981. On y reconnaît trois phases: la phase dite « précognitive », la phase au cours de laquelle on attribuait les formes à l'action des glaces flottantes et, enfin, la phase au cours de laquelle on reconnut l'action des glaciers. Dans la section traitant de cette dernière phase, dont on a dégagé sept étapes, la discussion porte: 1) sur l'influence relative des glaces du Labrador et de Terre-Neuve; 2) sur l'extension régionale et altitudinale des masses glaciaires; 3) sur le nombre de glaciations et leur chronologie. Alexander Murray fut, en 1866, le premier à reconnaître l'action des glaciers à Terre-Neuve. On expose ici son interprétation du phénomène. L'évolution de la pensée, de la fin du XIXe siècle jusqu'à nos jours, tient à une plus grande accessibilité du terrain, à une intensification des explorations par des scientifiques de mieux en mieux préparés, à l'influence d'idées venues de l'extérieur, à la mise au point d'outils permettant d'établir des chronologies et à l'amélioration des théories de glaciologie.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en