2010
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Études littéraires ; vol. 41 no. 1 (2010)
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Christophe Mercier, « Le cinéma de Jean Anouilh », Études littéraires, ID : 10.7202/044577ar
Comme quoi « le cinéma de Jean Anouilh » n’est pas une affaire simple. À côté de films qu’il a signés, écrits entièrement, et dont on aimerait voir les textes publiés (comme ceux de Giraudoux), il a participé, de près, d’un peu plus loin, adaptant ici, rajoutant là une séquence, un dialogue (comme Marcel Aymé), à nombre de films qui ne sont pas entièrement de lui, mais où il est présent, malgré tout, et qui portent sa griffe.Nous n’avons pas parlé de La citadelle du silence (L’herbier, 1937), auquel Anouilh aurait participé, ni de Piège pour Cendrillon, ni du mystérieux Temps de l’amour. D’ici quelques années, ils auront sans doute refait surface, et réservent peut-être des surprises. Le cinéma de Jean Anouilh est encore un domaine à explorer...