Pollen analysis: state of the art

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1977

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Géographie physique et Quaternaire ; vol. 31 no. 1-2 (1977)

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Tous droits réservés © Les Presses de l’Université de Montréal, 1977



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Gordon J. Ogden, « Pollen analysis: state of the art », Géographie physique et Quaternaire, ID : 10.7202/1000061ar


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Although nearly 50 years have passed since P.B. Sears introduced pollen analysis to North America, it remains an occult art. Dramatic improvements in sampling and analytic techniques continue to be limited by intractable problems of differential production, dispersal, ballistics, sedimentation, and preservation. It is a basic tenet of pollen stratigraphy that the data set, consisting primarily of microfossils preserved in sediments, is better than anything we have yet been able to do with it. Basic agreement between late- and postglacial pollen records has been confirmed wherever the method has been applied. Quantitative sampling techniques, sample preparation, and analytic procedures, together with multiple radiocarbon dates, permits calculation of sedimentation rates and absolute pollen influx. Of approximately 300 sediment cores from northeastern North America, fewer than 30 have more than 3 radiocarbon determinations from which least squares power curve regressions can be reliably calculated in the determination of sedimentation rates. Analogy with modern environments represented by surface pollen spectra is limited by an insufficient number of samples of uniform quality to characterize a vegetational mosaic covering 40 degrees of latitude (40-80°N) and longitude (60-100°W). The present surface pollen data bank includes about 700 samples, unevenly spaced and of uneven quality, permitting a grid resolution of no better than 10,000 km2.

Depuis l’introduction en Amérique du Nord des études palynologiques par P. B. Sears, il y a 50 ans, ce domaine de recherches demeure encore peu rigoureux. Les améliorations importantes apportées aux méthodes d’échantillonage et d’analyse sont encore limitées par une compréhension très partielle des problèmes de production différentielle, de dispersion, de ballistique, de sédimentation et de préservation du pollen. Les données mêmes de stratigraphie pollinique, constituées principalement de microfossiles préservés dans les sédiments, ont encore une valeur supérieure à l’ensemble des renseignements que l’on peut en tirer. On a pu confirmer la concordance entre les diagrammes polliniques tardi- ou postglaciaires dans tous les cas où la méthode a été employée. Les méthodes quantitatives d’échantillonage, de préparation des échantillons et d’analyse, utilisées parallèlement aux multiples datations au radiocarbone, permettent de calculer le taux de sédimentation et l’apport absolu de pollen aux sédiments. Moins de 30 des 300 carottes de sédiments provenant du nord-est de l’Amérique du Nord comptent plus de trois déterminations et permettent de calculer avec justesse des courbes de régression pour déterminer les taux de sédimentation. L’analogie avec les différents milieux actuels, représentés par les spectres polliniques de surface, est limitée par un nombre insuffisant d’échantillons de même qualité aptes à caractériser une mosaïque de végétation couvrant 40 degrés de latitude (40-80°N) et de longitude (60-100°O). La banque de données polliniques compte maintenant 700 échantillons, de qualité inégale et mal distribués, permettant tout au plus une finesse de résolution de 10 000 km2.

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