Le temps logé en la photographie. À partir de Barthes et Kracauer

Fiche du document

Date

2006

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Relations

Ce document est lié à :
Intermédialités : Histoire et théorie des arts, des lettres et des techniques ; no. 7 (2006)

Collection

Erudit

Organisation

Consortium Érudit

Licence

Tous droits réservés © Revue Intermédialités, 2006



Citer ce document

Arlette Farge, « Le temps logé en la photographie. À partir de Barthes et Kracauer », Intermédialités: Histoire et théorie des arts, des lettres et des techniques / Intermediality: History and Theory of the Arts, Literature and Technologies, ID : 10.7202/1005525ar


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr En

Dans des photos du XXe siècle que le XVIIIe siècle ignorait évidemment, quelque chose comme une sédimentation du passé se dépose. Nos corps, nos gestes, comme nos paysages sont emplis de présence d’autrefois dont nous ne sommes pas forcément conscients. Le battement du temps se loge en la photographie.

In XXth century photographs—that the XVIIIth century obviously did not know—, something like a layering of times passed has been deposited. Our bodies, gestures, as well as our landscapes are filled by yesterday's presence, whether we know it or not. The beat of time is in photography.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en