« Ô ton visage comme un nénuphar flottant » (thème et variations)

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2006

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Intermédialités : Histoire et théorie des arts, des lettres et des techniques ; no. 8 (2006)

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Anne Élaine Cliche, « « Ô ton visage comme un nénuphar flottant » (thème et variations) », Intermédialités: Histoire et théorie des arts, des lettres et des techniques / Intermediality: History and Theory of the Arts, Literature and Technologies, ID : 10.7202/1005544ar


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Variations sur le visage comme métaphore, c’est-à-dire enjeu d’une condensation entre visible et invisible. Il s’agit en quelque sorte d’une promenade qui part du poème de Gaston Miron dont cet article emprunte le titre; qui bute sur l’impraticable éthique de Levinas; qui s’avance à la rencontre de Freud sur la scène de la séance analytique ou le visage se fait miroir; qui croise Proust au Bal des têtes; convoque Moise et le voilement de la Face divine; et qui rejoint finalement Artaud devant ce toujours déjà à venir du visage. Ce parcours donne le visage comme matériau du temps et origine de la parole.

Variations on the face as metaphor, i.e. as a condensation of the visible and the invisible. This article proceeds as a stroll, a “promenade” beginning with a poem by Gaston Miron which provides the title for this text; stumping onto LÉvinas' impracticable ethic; moving towards Freud's scene and the analytical seance, where the face becomes mirror; crossing Proust's way, at the Bal of heads; convoking Moses and the veiling of the divine Face; reaching finally Artaud in front of the always already “to come” of the face. This article presents the face as time matter and origin of speech.

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