Le Réseau de détection précoce des espèces aquatiques exotiques envahissantes du Saint-Laurent : bilan des activités 2007-2010

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2012

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Le Naturaliste canadien ; vol. 136 no. 3 (2012)

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Anne-Marie Pelletier et al., « Le Réseau de détection précoce des espèces aquatiques exotiques envahissantes du Saint-Laurent : bilan des activités 2007-2010 », Le Naturaliste canadien, ID : 10.7202/1009243ar


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Au Canada, l’introduction de nouvelles espèces est survenue dès l’arrivée des premiers explorateurs européens au pays. Bien que la plupart de ces espèces, dites exotiques, causent peu de dommages aux écosystèmes qu’elles colonisent, certaines, par contre, croissent et se dispersent rapidement causant ainsi des impacts négatifs importants. Une espèce exotique est qualifiée d’envahissante lorsque son établissement ou sa propagation constitue une menace pour l’environnement, l’économie ou la société. Afin de détecter et de suivre la progression des espèces exotiques, la Direction de l’expertise du Bas-Saint-Laurent du ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) a mis sur pied, en 2007, un Réseau de détection précoce des espèces aquatiques exotiques envahissantes (EAEE) du fleuve Saint-Laurent. Ce réseau, formé de pêcheurs commerciaux oeuvrant dans tout le Saint-Laurent, permet d’avoir une connaissance actuelle des EAEE présentes dans le fleuve et de suivre leur évolution. En 4 ans, les pêcheurs ont rapporté la capture de 171 spécimens inhabituels appartenant à 7 espèces différentes, 2 en extension d’aire : le stromatée à fossettes (Peprilus triacanthus) et le balaou (Scomberesox saurus) ainsi que 5 EAEE : l’alose à gésier (Dorosoma cepedianum), l’alose d’été (Alosa aestivalis), la tanche (Tinca tinca), le crabe chinois à mitaines (Eriocheir sinensis) et le gobie à taches noires (Neogobius melanosomus).

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