La résonnante : Échos de la mémoire chez Nicole Brossard

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2012

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Voix et Images ; vol. 37 no. 3 (2012)

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Frédéric Rondeau, « La résonnante : Échos de la mémoire chez Nicole Brossard », Voix et Images, ID : 10.7202/1011953ar


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Consacré à la question de la filiation et de la mémoire dans l’oeuvre poétique de Nicole Brossard, cet article porte plus particulièrement sur trois poèmes tirés du recueil Je m’en vais à Trieste (2003) : « Kyoto », « Santorin » et « Trois-Rivières ». Autour de la figure de l’écho, il y est montré à quel point la distance, l’éloignement et la menace de disparition sont indissociables du travail d’écriture de Brossard. Le poème apparaît en effet comme un espace de résonance, de suspension du temps, témoignant à la fois d’une volonté de transmission, de continuité et finalement de la communauté en elle-même.

This article, dealing with the question of filiation and memory in the poetic work of Nicole Brossard, focuses on three poems from Je m’en vais à Trieste (2003) : “Kyoto”, “Santorin” and “Trois-Rivières”. Around the figure of echo, it shows to what extent distance, removal and the threat of disappearance are central to Brossard’s writing. The poem appears as a space of resonance in which time is suspended, bearing witness to an intention to transmit and ensure continuity and also, ultimately, to the existence of community itself.

Este artículo, dedicado a la cuestión de la filiación y la memoria en la obra poética de Nicole Brossard, trata más especialmente sobre tres poemas extraídos del libro Je m’en vais à Trieste (2003) (Me voy a Trieste): “Kyoto”, “Santorin” y “Trois-Rivières”. En torno a la figura del eco, se demuestra hasta qué punto la distancia, el alejamiento y la amenaza de desaparición son indisociables de la labor de escritura de Brossard. En efecto, el poema aparece como un espacio de resonancia, de suspensión del tiempo, manifestando a la vez una voluntad de transmisión, de continuidad y, por último, de la comunidad en sí misma.

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