La télévision française et les « voix québécoises » populaires : le trompe-l’oeil d’un étiquetage médiatique

Fiche du document

Date

2006

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Relations

Ce document est lié à :
Intersections : Canadian Journal of Music ; vol. 27 no. 1 (2006)

Collection

Erudit

Organisation

Consortium Érudit

Licence

All Rights Reserved © Canadian University Music Society / Société de musique des universités canadiennes, 2007


Sujets proches En Fr

Speaking Phonation

Citer ce document

Catherine Rudent, « La télévision française et les « voix québécoises » populaires : le trompe-l’oeil d’un étiquetage médiatique », Intersections: Canadian Journal of Music / Intersections: Revue canadienne de musique, ID : 10.7202/1013162ar


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr En

La télévision et d’autres médias français ont pris l’habitude, entre 2001 et 2004, de parler de « voix québécoises », comme s’il s’agissait d’un ensemble homogène dans les chansons d’aujourd’hui. Mais cette étiquette est trompeuse : sous son apparence unificatrice on constate la dispersion des réalités musicales. L’analyse de deux chansons le montre : entre « Parle-moi » par Isabelle Boulay et « Chéri tu ronfles » de Lynda Lemay, les contrastes se multiplient, concernant la forme, le langage harmonique, les techniques vocales utilisées et le rapport entre texte et voix.

French television, and other medias in that country, frequently use the label "voix québécoises" ("Quebec voices"), between 2001 and 2004. Such a formula gives a false impression of homogeneity. Actually, there is a great musical diversity among the so-called "voix québécoises". Two songs are analysed to demonstrate this: "Parle-moi", by Isabelle Boulay, and Lynda Lemay's "Chéri tu ronfles". These two songs are completely different musically in their form, harmonic language, vocal technique, and balance between text and voice.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines