The Neighbourhood Improvement Plan. Montreal and Toronto: Contrasts between a participatory and a centralized approach to urban policy making

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1988

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Urban History Review ; vol. 17 no. 1 (1988)

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Pierre Filion, « The Neighbourhood Improvement Plan. Montreal and Toronto: Contrasts between a participatory and a centralized approach to urban policy making », Urban History Review / Revue d'histoire urbaine, ID : 10.7202/1017698ar


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Résumé En Fr

During the late 1960s and early 1970s the Canadian government effected a turnabout in its urban renewal policy, which culminated in the launching of the Neighbourhood Improvement Program in 1973. This program differed from prior forms of renewal by emphasizing the preservation of the built environment and citizen participation in neighbourhood planning. This article is concerned with examining the difference in the attitudes the city administrations of Montreal and Toronto took toward the federal program, and the impact of this difference on the results in the two cities. It appears that Toronto's mode of implementation was in the spirit of the federal policy revision while Montreal endeavoured to pursue traditional urban renewal objectives through its use of the program. These two approaches to the Neighbourhood Improvement Program are depicted respectively as expressions of a participatory and a centralized mode of policy making at the local level.

À la fin des années soixante et au début des années soixante-dix, le gouvernement fédéral du Canada a changé le cap de sa politique de rénovation urbaine. Ce changement a mené à l’adoption, en 1973, du Programme d’amélioration de quartier (PAQ). Ce programme se démarquait des programmes précédents par son respect du cadre bâti et l’importante place donnée aux résidents dans l’aménagement de leur quartier. Cet article a comme objet la différence dans la position prise par l’administration municipale de Montréal et de Toronto à l’égard du PAQ, et l’impact de cette différence sur l’usage que les deux villes ont fait du programme. Il apparaît que l’implantation du PAQ à Toronto s’est faite dans le respect de la nouvelle philosophie fédérale en matière de rénovation urbaine, alors que la Ville de Montréal s’est servie du PAQ afin de poursuivre une politique d’aménagement antérieure au renouveau fédéral. L’auteur voit dans ces deux types d’utilisations du PAQ, l’expression d’approches opposées à la politique urbaine au niveau local : l’approche « participante » et l’approche « centraliste ».

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