What Becomes of the Avant-Guarded? New Music as Subculture

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2014

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Circuit : Musiques contemporaines ; vol. 24 no. 3 (2014)

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Martin Iddon, « What Becomes of the Avant-Guarded? New Music as Subculture », Circuit: Musiques contemporaines, ID : 10.7202/1027610ar


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Résumé En Fr

In a short ‘vox pop,’ written for Circuit in 2010, on the subject of the ‘future’ of new music, I proposed that new music — or the version of it tightly intertwined with what was once thought of as the international avant-garde, at any rate — might today be better thought of as a sort of subculture, akin to the spectacular subcultures of goth and punk, but radically different in that they developed from the ‘grassroots,’ as it were, while new music comes from a position of extreme cultural privilege, which is to say it has access, even now, to modes of funding and infrastructure subcultures ‘proper’ never have. This essay develops this line of enquiry, outlining theories of subculture and post-subculture — drawing on ‘classic’ and more recent research, from Hebdige and Cohen to Hodkinson, Maffesoli, and Thornton — before presenting the, here more detailed, case that new music represents a sort of subculture, before making some tentative proposals regarding what sort of subculture it is and what this might mean for contemporary understandings of new music and what it is for.

Dans un court « vox pop » rédigé pour Circuit en 2010, sur le thème de « l’avenir » de la nouvelle musique, j’ai proposé que cette dernière – ou, dans tous les cas, sa version étroitement entremêlée avec ce qui fut considéré comme l’avant-garde internationale – puisse être aujourd’hui mieux pensée comme une sorte de sous-culture, semblable à celles, spectaculaires, du goth et du punk, quoique radicalement différente en ce que ces dernières se sont développées « de la base », pour ainsi dire, tandis que la nouvelle musique est issue d’une position extrêmement privilégiée culturellement : elle a accès, encore aujourd’hui, à des modes de financement et d’infrastructure dont les sous-cultures « à proprement parler » ne bénéficient jamais. Cet essai développe la question par la description des théories de la sous-culture et de la post-sous-culture – en faisant appel aux recherches tant « classiques » que plus récentes, de Hebdige et Cohen à Hodkinson, Maffesoli et Thornton –, avant de présenter le cas, plus détaillé ici, de cette nouvelle musique qui représente une sorte de sous-culture, puis d’énoncer quelques propositions provisoires sur la nature de cette sous-culture, ce que cela pourrait signifier pour la connaissance contemporaine de la nouvelle musique et à quoi cela pourrait servir.

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