La famille. L’habitation sucrière de la Compagnie des îles de l’Amérique à la Guadeloupe (1642-1649)

Fiche du document

Auteur
Date

2016

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Relations

Ce document est lié à :
Revue d’histoire de l’Amérique française ; vol. 69 no. 3 (2016)

Collection

Erudit

Organisation

Consortium Érudit

Licence

Tous droits réservés © Institut d’histoire de l’Amérique française, 2016



Citer ce document

Éric Roulet, « La famille. L’habitation sucrière de la Compagnie des îles de l’Amérique à la Guadeloupe (1642-1649) », Revue d’histoire de l’Amérique française, ID : 10.7202/1035960ar


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr En

La Compagnie des îles de l’Amérique, reformée en 1635 à l’initiative du cardinal de Richelieu, fait du développement des cultures d’exportation comme la canne à sucre une priorité de sa politique économique dans les Petites Antilles françaises. Elle possède une vaste habitation à la Guadeloupe, la famille, sur laquelle elle fonde de grands espoirs. Cependant, elle ne réalise pas de bons résultats malgré les milliers de livres investis. Les difficultés rencontrées dans la gestion des établissements sous son autorité la conduisent finalement à vendre les îles. Le sucre aura-t-il été sa perte ?

Revitalized in 1635 at the request of the Cardinal Richelieu, the Compagnie des îles de l’Amérique (Company of the American Islands) prioritized the development of export crops, such as the sugar cane, as its major economic policy for the French Lesser Antilles. The Company had a large plantation in Guadeloupe, La Famille, for which it had gread expectations. Results were poor, however, in spite of thousands of pounds invested in the project. The Company eventually had to sell islands because of difficulties with the management of its establishments. Did sugar lead to its dissolution ?

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en